Fumée d'un feu
dans l'air tumultueux
Ft. Monsieur
dans l'air tumultueux
Ft. Monsieur
Une exposition en plein milieu d'un restaurant gastronomique, pourquoi pas ? C'est ce que tu avais pensé en voyant l'annonce : " Manger les plus bons mets tout en admirant des œuvres d'artiste locaux, quoi de mieux ! Venez commander et prendre le temps de choisir votre nouvelle perle à accrocher dans votre salon, dans notre restaurant Kirktown ! "
Soyons honnête, c'était plutôt pas mal. Et puis petit plus : vin offert aux artistes décidant de vendre leurs œuvres. Quoi de mieux pour occuper ce samedi après-midi ? N'abusons pas, plusieurs choses, mais c'était quand même une occasion à ne pas louper.
Tu étais donc là, au milieu du restaurant, observant la pièce. Un piano était disposé dans un coin de cette grande salle, où un volontaire s'amusait à jouer quelques jolies notes. Une vingtaine de personnes se déplaçaient de tableaux en tableaux, certains discutant les prix avec les artistes, d'autres ne faisant qu'observer. Devant certaines œuvres, les artistes n'étaient pas présent, assis à une table non loin de leurs travaux, où on pouvait venir les interroger et discuter autour d'un verre. La pièce était magnifiquement organisée pour donner une impression d'espace, tout en étant décorée de multiples tableaux sur chaque mur et une dizaine de petites tables rondes pour quatre personnes pour artistes et curieux, amateurs d'art, voire potentiels acheteurs.
Toi Emerald, tu étais là. À observer, toujours, les oreilles toutes ouïes, histoire de pouvoir intervenir si les visiteurs se posaient des questions à voix haute sur tes tableaux, ou s'ils les touchaient. Auquel cas, ils comprendraient le terme " respect " avec ce que tu leur réservais.
Tu décidas néanmoins de te lever de cette chaise, de laquelle tu regardais un peu tout, pour admirer certains tableaux. Après tout, il fallait savoir montrer son admiration envers ses collègues, même avec les moins doués. Enfin, eux tu les évitais un peu. Tu savais que s'ils te demandaient ton avis, tu ne t'embêterais pas à leur mentir. Et, comme beaucoup d'artistes narcissique et autocentrés, ils allaient mal le prendre et être dans tout leurs états qu'on ai osé critiqué leur art si pur et parfait et si représentant de notre société actuelle et tout ce qu'ils sont capable de sortir pour se valoriser et attirer les compliments de d'autres artistes bien moins sans gêne que toi.
De nouveaux visiteurs venaient d'arriver. Un verre de vin à la main, tu le portas à tes lèvres tout en les regardant. Espérant que certains d'entre eux viendraient à s'intéresser à ton travail.
Soyons honnête, c'était plutôt pas mal. Et puis petit plus : vin offert aux artistes décidant de vendre leurs œuvres. Quoi de mieux pour occuper ce samedi après-midi ? N'abusons pas, plusieurs choses, mais c'était quand même une occasion à ne pas louper.
Tu étais donc là, au milieu du restaurant, observant la pièce. Un piano était disposé dans un coin de cette grande salle, où un volontaire s'amusait à jouer quelques jolies notes. Une vingtaine de personnes se déplaçaient de tableaux en tableaux, certains discutant les prix avec les artistes, d'autres ne faisant qu'observer. Devant certaines œuvres, les artistes n'étaient pas présent, assis à une table non loin de leurs travaux, où on pouvait venir les interroger et discuter autour d'un verre. La pièce était magnifiquement organisée pour donner une impression d'espace, tout en étant décorée de multiples tableaux sur chaque mur et une dizaine de petites tables rondes pour quatre personnes pour artistes et curieux, amateurs d'art, voire potentiels acheteurs.
Toi Emerald, tu étais là. À observer, toujours, les oreilles toutes ouïes, histoire de pouvoir intervenir si les visiteurs se posaient des questions à voix haute sur tes tableaux, ou s'ils les touchaient. Auquel cas, ils comprendraient le terme " respect " avec ce que tu leur réservais.
Tu décidas néanmoins de te lever de cette chaise, de laquelle tu regardais un peu tout, pour admirer certains tableaux. Après tout, il fallait savoir montrer son admiration envers ses collègues, même avec les moins doués. Enfin, eux tu les évitais un peu. Tu savais que s'ils te demandaient ton avis, tu ne t'embêterais pas à leur mentir. Et, comme beaucoup d'artistes narcissique et autocentrés, ils allaient mal le prendre et être dans tout leurs états qu'on ai osé critiqué leur art si pur et parfait et si représentant de notre société actuelle et tout ce qu'ils sont capable de sortir pour se valoriser et attirer les compliments de d'autres artistes bien moins sans gêne que toi.
De nouveaux visiteurs venaient d'arriver. Un verre de vin à la main, tu le portas à tes lèvres tout en les regardant. Espérant que certains d'entre eux viendraient à s'intéresser à ton travail.