RUINE
THE DEVIL IS REAL AND HE'S NOT SOME LITTLE RED MAN WITH HORNS AND TAIL
Nom : Knight
Prénom : Malone, Isao
Surnom : Ruine
Date de naissance : 18/01/91 (29yo)
Origines : Anglais-Japonais (Leeds, UK)
Métier : Propriétaire de l'Eden
Lieu de vie : Premier étage du bâtiment de l'Eden.
Depuis quand votre personnage est-il à Stonehaven ? 08/10/2009
Connaît-il la théorie de la Quintessence ? Oui
Y croit-il ? Oui
Prénom : Malone, Isao
Surnom : Ruine
Date de naissance : 18/01/91 (29yo)
Origines : Anglais-Japonais (Leeds, UK)
Métier : Propriétaire de l'Eden
Lieu de vie : Premier étage du bâtiment de l'Eden.
Depuis quand votre personnage est-il à Stonehaven ? 08/10/2009
Connaît-il la théorie de la Quintessence ? Oui
Y croit-il ? Oui
Composition :
Groupe souhaité : Elemental Skin
4% terre ; 3% eau ; 12% air ; 81% feu
Groupe souhaité : Elemental Skin
THERE IS NO CHARM
Remarquable de part ta taille légèrement au dessus de la moyenne, ta silhouette athlétique attire plus d’un regard. Peau légèrement halée laissant apercevoir les fines lignes de tes muscles, formant un dessin au parcours de ton corps qui ne se laisse pas occulter par des vêtements ajustés.
Traits de visage atypiques, soutenu par des rictus réguliers, qui pourtant n’enlèvent rien de ce qui est appelé vulgairement virilité. Tes lèvres colorées souvent étirées par ces risettes changeantes, prison d’un chant tout aussi fluctuant. Puis, il y a eu le changement. L’activation n’a pas laissé indemne la coloration sombre de tes cheveux, les réchauffant de ces reflets flamboyants. Mais ce qui est le plus caractéristique du changement, et ce qui se remarque plus facilement, c’est ton regard semblable aux rayons froids de l’astre lunaire, en contraste permanent avec ces iris teintés d’hélianthe.
SHADOWS WILL FALL BEHIND YOU
Sourire angélique dans sa robe carmin se déployant aux grès des rencontres, comme un masque de sainteté emprisonnant l’illusion d’un idéal humain. Plutôt facile à aborder aux premiers abords, il est aisé de se laisser charmer par cette mise en scène de gendre idéal dont les manières, les regards et paroles sont emplis de promesses mirifiques. Soigné, tant dans l’apparence que par ton chant, il est souvent difficile de voir au delà du masque de perfection maudite que tu portes si tu n’en décides pas autrement. Un paraître omniprésent, voilant l’essence de ton être.
Charmeur décadent répondant au nom de Ruine, syllabes soufflées entre les lèvres des demoiselles envahies par l’euphorie, terrassées par l’extase que tu peux leur procurer. Elles sont nombreuses, et tout autant insignifiantes. Tu es cette facette de l’homme qu’il faudrait faire taire. La vulgarité fini par transparaître dans tes palabres sans qu’elle n’entache le timbre suave de ta voix.
Humanité vaporeuse, bien présente, mais si difficile à cerner. Sainte chimère entachant ton existence d’imperfection. Illusion. Désillusion.
Ruine n’est qu’un phantasme.
((charismatique — masque d’idéal — solitaire — calme— intéressé — souriant — manipulateur — menteur — charmeur — rancunier — possessif — concupiscent — cruel — vulgaire — dérangeant — observateur — peu expressif — mystérieux — indépendant — aléatoire — fume trop — bois trop — ponctuel — déterminé — dominateur — intuitif — passionné — indépendant — ambitieux — tyrannique — mondain — insensible — soigné — indomptable — tenace — fier — complexe))
THE SUPREME ART OF WAR IS TO SUBDUE THE ENEMY WITHOUT FIGHTING
Comme une cigarette qu’on allume, qui brûle, brûle, et qui se consume. Passion telle une flamme vivace, qui s’essouffle, s’éteint sur tes lèvres. Ce n’est plus qu’un murmure. Des cendres rougeoyantes. Faible, irritable, prêt à s’embraser à la moindre contrariété, pour s’affaiblir la seconde suivante. Une envie de hurler jusqu’à manquer d’air, enchaînée par un manque de force évident qui ne fit qu’attiser l’inquiétude de ta génitrice.
Croyances culturelles, mélangées à un spiritisme inavoué, ont forcé un retour dans le pays maternel, nourrissant le vain espoir que la situation s’arrangerait. Pas traînants entre temples et monastères, voyant la flamme dans tes yeux s’éteindre en écho aux espoirs de ta mère. Le vent semblait vouloir t’emporter, la terre t’avaler, et l’eau te noyer. Alors tu as voulu oublier, annihiler cette géhenne par le seul moyen qui était efficace. Liquide brûlant ta gorge, capiteux et enivrant, créant l’illusion, te plongeant dans un songe emplit de mirages utopiques. L’évidence. Un tas de cendres refroidissant dans le coin d’une pièce sombre et oubliée.
Dégénérescence perpétuelle, entraînant la ruine de l’essence de ton être et renforçant le sentiment d’impuissance de ta génitrice. Il t’aura fallut te perdre dans les abysses du péché et de la débauche avant de l’entendre. Ce chant irréel que tu as d’abord pris pour l’une de tes hallucinations régulières. Mains manucurées d’écarlate se posant sur tes joues, suivie de ses lèvres carmin sur ton front. Gestes déplacés dans ce lieu où le plaisir charnel extrême régnait en maître. Mais rien ne te paraissait plus authentique. Il te semblait pouvoir palper le bien-être du bout de tes doigts. Il t’était inconcevable de mettre en doute ses paroles emplies de justesse et de sincérité, aussi étonnant que ça puisse l’être.
Il aura suffit d’une allumette. D’une étincelle. Devant Shōrō au temple Tōdai-ji, tu avançais comme si le monde t’appartenait. Bouteille se brisant en mille morceaux de verre, tu étais l’image même du vandale dans un lieu sacré. Croisant une dernière fois son regard flamboyant, tu savais que l’échec ne serait pas plus épouvantable que l’inertie. Spiritueux coulant dans tes veines écrasant le moindre doute qui tentait de s’immiscer dans ton esprit.
Comme une cigarette qui se consume, qui brûle, brûle, et qu’on allume. La caresse brûlante des flammes a libéré tes poumons, te permettant de relâcher ce cri tant retenu au fil du temps. Ces hurlements, bravant le vent glacial. Traversant la forêt d’arbres. Des arbres si grands. Si hauts. Cette clameur d’agonie, ce rugissement bestial qui se transforma. Épaules secouées, spasmes remontant jusqu’à ta gorge. Cette plainte se changeant en un ricanement glacial, comme la brûlure en une étreinte réconfortante. Cheveux rougeoyants, couplé à tes iris solaire qui n’exprimaient plus qu’une chose. Le sentiment d’être en vie.
Comme une cigarette qu’on allume, qui brûle, brûle.
Brûle.
Hors rp
Pseudo : Tortue / Ruine
Est-ce ton premier compte sur Elemental Skin ? Euh... Oui ? :3
Comment as-tu découvert le forum ? A l'époque on m'avait trainé. Mais je reviens avec joie <3
Autre : CHAMPAGNE !
Est-ce ton premier compte sur Elemental Skin ? Euh... Oui ? :3
Comment as-tu découvert le forum ? A l'époque on m'avait trainé. Mais je reviens avec joie <3
Autre : CHAMPAGNE !