Trésaillant le vent de mer le long de
Qu’une aiguille fine avait injecté -
Envoyé par la Terre que changeront les vestales)
Aucun but sinon bleutée à perte de vue – quelle chute
Promenade sans retour
Ruisseau d’ébène – tromperie corbeau,
Opale s’en
Le voile charmeur quelqu’un-e se tournerait (charmé-e)
Le (cri) des oiseaux s’en(dorment) en allant, tréssaillent
(Résonnent qu’un pressentiment coule le long de son échine)
C’était comme un
S’agite déjà le besoin de briser son silence si éveillé.
Au loin de la jetée – que voilà au visage fermé d’une moue dénuée
(D’expression puis vous dirais-je Monsieur laisserez-moi)
Du vent qu’une bise soufflait sur sa peau, éthérée.
Ce n’était que l’amusement
Opale
Puisque but il n’y avait ;
Le temps ne s’y éclaterait point d’un simple mensonge -
Transcender la folie – des limites d’une anémie ;
Vibrant appel flamboyant auprès de celui
S’approche pour ne le surprendre qu’en
S’amuser avec le feu (puis l’admirer un peu cet effronté
Si vous désirez souffler vos poumons Monsieur ;
Laissez donc faire la fioriture par le feu,
Pour l’affront d’une audace en cavale.
(Sa nuque dévoilée où courent les écailles
Encrée du Malin que la Tentation ondulait – serpent des entraillesQu’une aiguille fine avait injecté -
Envoyé par la Terre que changeront les vestales)
Aucun but sinon bleutée à perte de vue – quelle chute
Te tromperais-tu
Comme si (re)sentir un tel besoin d’unePromenade sans retour
Ce n’était qu’une simple journée d’une sérendipité illusoire.
Ruisseau d’ébène – tromperie corbeau,
Opale s’en
(Dansait le long des pavés) ;
Qu’une fumée de tabac lui fournissaitLe voile charmeur quelqu’un-e se tournerait (charmé-e)
Le (cri) des oiseaux s’en(dorment) en allant, tréssaillent
(Résonnent qu’un pressentiment coule le long de son échine)
C’était comme un
Déjà-vu
La sensation (dés)agréable qu’au tréfond de ses entraillesS’agite déjà le besoin de briser son silence si éveillé.
Au loin de la jetée – que voilà au visage fermé d’une moue dénuée
(D’expression puis vous dirais-je Monsieur laisserez-moi)
Vous ennuyer
De sa mèche opaline qui tanguait le long de la caresseDu vent qu’une bise soufflait sur sa peau, éthérée.
Ce n’était que l’amusement
Un rictus, une ode à l’élément ;
Enervement contenu – transcende les glottes de la belleOpale
Qu’elle se souvenait de l’insolent (au fond ce n’était qu’un jeu rien qu’un jeu au plus mielleux).
Puisque but il n’y avait ;
Le temps ne s’y éclaterait point d’un simple mensonge -
Que deux ou trois mots échangés le long d’une consumation folle ;
Puis cendres tomberaient à leurs pieds jusqu’à la finDe leurs paroles.
Transcender la folie – des limites d’une anémie ;
Quantifier l’insomnie d’une (rencontre démunie)
Ce n’était qu’un jeu qu’une symphonieVibrant appel flamboyant auprès de celui
(Qui cherchait les emmerdes – quelle tragédie) elle –
S’approche pour ne le surprendre qu’en
Arrivant dans son dos (une proie qu’une entente) ;
Le son de sa voix à l’ironie crissant – vibrant de sa culpabilité grandissante – culpabilité de S’amuser avec le feu (puis l’admirer un peu cet effronté
Gracieux) –
(Un simple sourcil soulevé en signe de contentieux)
(Un simple sourcil soulevé en signe de contentieux)
Si vous désirez souffler vos poumons Monsieur ;
Laissez donc faire la fioriture par le feu,
Mais n’oubliez pas l’insolente infortune qui vous a souri,
Ce jour où vous aviez osé me défier dans les yeux. C’était Opale opaline opalescente ; le rictus aux lèvres – indécente,
Que le dénommé Aidan elle avait pris en chasse,Pour l’affront d’une audace en cavale.
Pour tuer l’ennui le long d’une promenade.
impétueuse audace
ft. @Aidan(griller la douleur dans les cendres dorées)
(c) Opale